La vie est imprévisible, et le bonheur peut frapper à votre porte à tout moment. Seulement, il faut savoir saisir sa chance. Nous allons vous présenter l’histoire incroyable du succès de Patrick Hernandez.
Patrick Hernandez est l’auteur du célèbre tube ¨Born to be alive¨, qui continue de surfer sur le succès plus de 40 ans après sa sortie. Grâce à ce titre, Hernandez mène une vie confortable. D’après ses confidences, il gagne par jour entre 800 et 1500 euros grâce à ce titre. Il mène donc une vie de roi, mais tout n’a pas toujours été rose.
L’auteur-compositeur a grandi dans une grande précarité. En effet, dans sa jeunesse, il a mangé dans la poubelle et il a vécu sous une tente. Ne pouvant compter sur le soutien de ses parents qui ne voulaient pas qu’il fasse carrière dans la musique, il a dû compter sur lui-même très tôt.
Sa persévérance et son talent lui ont été bénéfiques, puisqu’il mène désormais une vie de rêve. Il continue de gagner beaucoup d’argent sans forcément avoir besoin de travailler. Zoom sur le parcours inspirant de Patrick Hernandez.
Patrick Hernandez connaît le succès et la célébrité, mais tout n’a pas toujours été facile pour lui. Son parcours a été parsemé d’embûches et d’obstacles divers.
Durant une interview accordée aux médias, le chanteur est revenu sur sa douloureuse enfance passée dans une extrême pauvreté :
¨Au tout début, j’ai connu des périodes de vraie misère. Je me revois en plein hiver, dormir sous une tente de camping près de la MJC de Goussainville, en banlieue parisienne. Il m’est même arrivé d’aller piquer un vieux camembert entamé jeté dans une poubelle, de le passer sous l’eau claire et de le manger. Parce que je n’avais pas le sou¨,
révélait-il.
Il s’est très vite intéressé à la musique. Malheureusement pour lui, ses parents ne voulaient pas qu’il fasse carrière dans cet univers. La prise de position de ses parents a rendu sa vie encore plus difficile qu’elle ne l’était déjà. Le jeune Hernandez a dû prendre ses responsabilités assez tôt.
Cependant, il a pu compter sur l’amour de sa maman, bien qu’elle ne le lui exprimait pas assez souvent :
¨Maman était une femme sur la réserve. Nous vivions tous les deux, sans papa. Elle devait être un peu moins tendre pour jouer son rôle à lui aussi. Mais je n’ai aucun doute sur son amour inconditionnel¨,
s’est-il souvenu.
Il était donc beaucoup plus attaché à sa maman qu’à son père. Hélas, cette femme qui représentait énormément pour lui, a perdu la vie en 1994 dans un accident de voiture. Elle s’en est allée à l’âge de 69 ans.
CHANSON
Comme nous l’avons dit plus haut, Patrick Hernandez a dû prendre ses responsabilités assez vite dans sa vie. Il a laissé exprimer son talent pour la chanson, et c’est ainsi qu’il est devenu un artiste aux multiples casquettes : compositeur, auteur, éditeur, interprète et producteur.
Il s’est lancé dans l’univers de la musique, et bien qu’il soit talentueux, le succès n’était pas tout de suite au rendez-vous.
Patrick Hernandez a broyé du noir dans les années 70. L’année 1979 reste celle qui a radicalement changé sa vie. Il compose le titre ¨Born to be alive¨, sans toutefois être convaincu de sa pertinence :
¨Amateur fou des Beatles, je considérais le terme disco comme un gros mot¨,
s’est-il rappelé.
Il a eu la bonne idée de suivre les conseils de son entourage et d’y mettre du sien lors de la composition de ce morceau :
¨Sur les conseils d’oreilles expertes, j’ai essayé. Et c’est devenu un tube planétaire. Mieux, un standard, la référence d’une décennie¨.
reconnaissait-il.
Born to be alive¨ est devenu une véritable référence musicale. Depuis sa sortie, il s’est écoulé à plus de 27 millions d’exemplaires dans le monde.
Pour vous aider à comprendre à quel point ce titre est phénoménal, il faut savoir que ses ventes sont équivalentes à 56 disques d’or, de platine et de diamant dans une cinquantaine de pays.
Des années plus tard, ce titre reste l’un des plus diffusés en discothèque sur toute la planète.
SA VIE MAINTENANT
Plus de 42 ans après sa sortie, le tube “Born to be Alive” rencontre toujours autant de succès en France et dans le monde. Cette situation profite évidemment à son auteur, Patrick Hernandez. C’est assez simple : ce titre l’a rendu millionnaire.
Des années après, Patrick Hernandez continue de profiter du fruit de son labeur :
¨Lorsque je me lève le matin, je sais déjà que je vais gagner entre 800 et 1500 euros dans la journée (…) C’est une fourchette large, parce que si demain, une grande marque américaine veut la chanson pour une pub, évidemment, on sera dans la frange haute¨,
confiait-il à Gala.
Cette chanson lui a offert bien plus que de l’argent :
¨Ce titre m’a permis de faire une télé par-ci, d’être appelé par tel pays demandé pour tel film ou tel concert privé (…) À dose homéopathique, comme j’aime¨.
Qui ne voudrait pas gagner une fortune sans avoir à fournir d’effort particulier ? C’est un rêve que vit Patrick Hernandez. Hélas, sa vie sentimentale ne connaît pas le même succès. En 1990, il a épousé une femme prénommée Laetitia.
De leur amour, est née leur unique fille, Victoria. Malheureusement, ils se sont séparés il y a quelques années, et Patrick Hernandez ne ferme pas la porte à l’amour. Il a néanmoins gardé de bons rapports avec Victoria.
Son parcours nous donne une bonne leçon de vie : il ne faut jamais baisser les bras, même quand la vie est difficile et que tout semble être contre vous. Gardez toujours espoir et ayez foi en l’avenir !