Pendant 20 ans, la femme vivait seule dans sa grande maison. Elle était une passionnée de la nature et de l’écologie, et avait décidé de ne pas nettoyer sa maison pour réduire son empreinte carbone.
Au fil des années, la maison était devenue un véritable sanctuaire pour la nature. Les plantes poussaient à l’intérieur, les oiseaux venaient y nicher et les insectes y trouvaient refuge. Pourtant, malgré l’absence de nettoyage, la maison était étonnamment propre. Il n’y avait pas de poussière ni de saleté, et l’air y était frais et pur.
La femme avait mis en place un système ingénieux pour maintenir sa maison propre. Elle avait installé des filtres à air pour purifier l’air, des plantes dépolluantes pour absorber les toxines, et avait conçu sa maison de manière à ce que la lumière du soleil puisse pénétrer dans chaque recoin.
Elle avait également développé une routine quotidienne pour maintenir la propreté de la maison sans utiliser de produits chimiques. Elle passait régulièrement l’aspirateur pour enlever les poils de ses animaux domestiques et les miettes de nourriture, et nettoyait les surfaces avec du vinaigre et de l’eau.
Au fil des ans, la maison était devenue un exemple de durabilité et d’écologie. Les visiteurs étaient émerveillés par la beauté naturelle de la maison et la propreté exceptionnelle de ses espaces. La femme était fière de sa maison et de son engagement envers la planète.
Et quand elle mourut, des années plus tard, la maison resta debout, toujours aussi belle et propre qu’avant, en hommage à la vie de la femme qui avait créé cette oasis de nature et de propreté.